Paroles d'ex-musulmans
Il ont connu l'Islam de
l'intérieur (il y a des choses qu'on ne peut voir que de
l'intérieur) puis de l'extérieur (il y en a aussi
qu'on ne peut voir que de l'extérieur). Il y en a
peut-être de plus modérés dans leur
rejet, mais je les cherche... si vous pouvez m'en indiquer...
L'ouvrage d'Ali Sina cité ci-après (parmi d'autres) vient de sortir en français (novembre 2015) aux éditions Tatamis (site de l'éditeur). L'islam dans le terrorisme islamique d'Ibn Warraq est sorti de même en avril 2018 (site de l'éditeur).
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Et
même s'il ne veut pas ! Il
n'y a pas de différence, il y a un seul Coran, et
donc un seul islam. Certains musulmans ignorent ce que dit l'islam et
sont bons car leur humanité leur dicte de faire des
choses bonnes. C'est le cas souvent en France, mais les autres, ceux
qui connaissent le Coran ne semblent modérés que
parce qu'ils sont pour l'instant en minorité et ne peuvent
donc pas appliquer le Coran. Ceux que l'on appelle les "musulmans bons"
seront poussés à tuer comme les autres lorsqu'ils
liront le Coran, ou ils quitteront l'Islam comme je l'ai fait. Mais
dans les pays musulmans, mon histoire le montre, quitter l'islam est
tellement difficile que certains continuent à vivre dans
l'islam par peur. Il y a en plus un danger pour la
démocratie en France. Les musulmans cherchent une
identité qui ne soit pas la France et se
réfugient donc dans l'islam. Le jour où ils
seront majoritaires au Parlement, ils voteront la charia ! L'islam
a bousillé ma vie. L'islam rend schizophrène.
L'islam prospère sur l'inculture et l'ignorance. Ses valeurs
ne sont pas compatibles avec celles de la République. Lisez
bien ce que dit le Coran sur les femmes, les infidèles, les
apostats qui comme moi rejettent la religion. En
ma vie post islamique, je n'ai plus à subir ni la
culpabilisation du doute ni la peur des tourments de l'Enfer de
l'au-delà. C'est donc en toute
sérénité que
je sais lire les menaces de ce livre du Coran qui ne m'impressionne ni
ne me fait marcher au pas. (...) Je sais constater sans la moindre
hésitation à quel point le Coran demeure un livre
qui ne
m'est d'aucune utilité pratique, de mon vivant, aujourd'hui,
dans le monde d'ici-bas. Le
Coran est un amoncellement de textes culpabilisateurs et infantilisants
qui ne sont organisés ni par thématique ni par
chronologie, tout ce que je déteste lire dans un
récit
qui prétend révéler du droit
juridique. Le Coran,
une oeuvre mysogyne et esclavagiste criminalisant la liberté
de
croyance, est la cause d'un chef spirituel autoritariste, sectariste
(surtout si j'en crois la Sunna Sahih) et dont je ne voudrais ni pour
professeur de bonne conduite/moralité à qui
confier
l'éducation de mes enfants. Mais
critiquer la religion islamique ne risque-t-il pas de pousser les
musulmans modérés dans les bras des
extrémistes comme l'avancent certaines âmes
sensibles ? Si les musulmans modérés
étaient des intégristes masqués
attendant la moindre occasion pour revenir aux sources, oui, mais
seulement dans ce cas ! Eviter tout débat par peur
d'offenser les musulmans conduit au contraire à satisfaire
les exigences des islamistes et à légitimer leur
idéologie. D'ailleurs la liberté d'expression
n'est pas seulement le pouvoir de dire ce que l'on pense, c'est aussi
de devoir supporter, voire d'être choqué par ce
que dit l'autre. Vociférations
et mensonges pourront-ils couvrir le bruit des bottes de ce
totalitarisme en marche vers la destruction de la
civilisation ?
Accepterons-nous les hostilités contre la
liberté, la dignité,
l'égalité sans distinction de sexe, le droit pour
chacun de vivre ses croyances religieuses ou de pratiquer la
philosophie qui lui convient ? J'ai
décidé de combattre l'islam ; s'il vous
plaît comprenez ma déclaration :
combattre l'islam, pas l'islam politique, pas l'islam militant, pas
l'islam radical, pas l'islam wahhabite, mais l'islam en
lui-même... L'islam n'a jamais été
incompris, l'islam est le problème... (les musulmans)
doivent comprendre qu'ils n'ont que deux choix : changer ou
être écrasés. L'idée
maitresse contenue dans l'argumentation d'Ibn Warraq est
énoncée avec force : le problème n'est
pas
simplement l'intégrisme musulmans, mais l'islam
lui-même.
Non seulement les médias occidentaux, desquels nous
n'espérons plus guère de grands principes moraux
ou de
courage, mais également les intellectuels font preuve de
lâcheté quand il est question d'une juste critique
morale
de l'islam et de ses dogmes. La
vérité, c'est que l'islam ne parviendra jamais
à
la démocratie ni au respect des droits de l'homme aussi
longtemps qu'il s'en tiendra à la charia et qu'il n'y aura
pas
de séparation de l'Eglise et de l'Etat. Mais, comme Muir le
fait
si justement remarquer : "Une religion réformée
qui
remettrait en question l'autorité divine sur laquelle elles
(les
institutions de l'islam) reposent ou qui essayerait, par des choix
rationnels et des compromissions, de mener à bien un
changement,
ne serait plus l'islam". Il est bouleversant
de constater que, pendant que les
terroristes islamiques égorgent, décapitent et
massacrent, obéissant ainsi aux
versets du coran et aux paroles et aux faits attribués
à Mahomet, l'Occident -
en plus de nier l'évidence - va jusqu'à
"excommunier" les terroristes
islamiques. Le 14 septembre dernier, après la
décapitation de l'otage
britannique David Haines, le premier ministre David Cameron a
déclaré que les
terroristes islamiques de l'Isis "ne
sont pas des musulmans mais des monstres", "ils disent qu'ils font
ça
au nom de l'islam. C'est absurde, l'islam est une religion de paix". Depuis le 11
septembre 2001, jusqu’au jour où
j’écris (décembre 2011), il y a eu plus
de 20000 attaques terroristes, tuant ou
blessant des centaines de milliers de personnes dans le monde. Les
auteurs de
ces attaques n’étaient pas des monstres ;
c’étaient des musulmans. Ils
avaient la foi et agissaient conformément à cette
foi. Ils sont des millions à
penser de même, et prêts à agir de
même.
(Ali Sina, Iranien exilé au Canada, dans Understanding Muhammad and Muslims, ma traduction) Muhammad
[le Prophète de l'Islam] était un orphelin.
Rejeté par sa mère dans son plus jeune
âge et laissé aux soins d’un couple
bédouin, il a eu une enfance sans amour. Il passa alors sous
la tutelle de son
grand-père et de son oncle qui eurent pitié de
lui et le prirent. N’ayant pas
reçu d’amour au moment où il avait
besoin d’amour inconditionnel, n’étant
pas
discipliné quand il avait besoin d’apprendre les
limites, il développa un
trouble narcissique de la personnalité, ce qui le rendit
mégalomane et dépourvu
de conscience. Des musulmans ne peuvent
haïr personne aussi intensément que les apostats.
Je sais que cela rend les juifs envieux. Mais
désolé, mêmes les juifs ne peuvent
atteindre ce niveau. Quand
un cinquième de
l’humanité vénère un
psychopathe, est poussé à louer les attentats
suicides,
donc à penser que le meurtre et le martyre sont les
suprêmes actes de piété, le
monde devient un endroit dangereux. Sont-ils
si différents de ces musulmans dits
"modérés", ces gens qu'on ne voit jamais
protester contre ces prétendus "intégrismes", qui
ne se font jamais entendre, qui ne sortent jamais de leur
réserve pour "défendre leur religion" contre la
barbarie, si tant est que cette religion serait vraiment "amour, paix
et tolérance" ? N'y a-t-il pas un paradoxe entre
leur
formule
"paix-amour-tolérance" et ce qui se passe partout dans le
monde d'aujourd'hui et qu'ils "oublient" de
dénoncer ?
Autant
ces musulmans dits "modérés" sont prompts
à se mobiliser, parfois de manière
très violente, contre Israël qui ne fait pourtant
que se défendre, ou contre "l'islamophobie" en Occident,
simplement à cause d'une caricature ou d'un mauvais film sur
leur "prophète", autant ils font les sourds, aveugles et
muets dès qu'ils s'agit des méfaits de leurs
coreligionnaires. Les musulmans dits "modérés"
ont l'indignation sélective... Les faits sanglants
et les faits de guerre nous invitent à la
réflexion. Ainsi, d’un article paru dans Le
Parisien et
intitulé "Mali : le jihadiste français a
servi dans la
police". Ce qui me frappe dans ce papier, c’est ce que Sonia,
la
sœur du djihadiste, déclare : "Il
faut qu’il paie !"
Avant de se féliciter qu’en France, l’on
puisse pratiquer — et transmettre —
l’islam sans être inquiété.
Comme tant d’autres musulmans avant elle, elle voue aux
gémonies le djihadiste vivant mais ne pipe pas mot du
djihadiste en chef, Mahomet.
(Pascal ex-Mohammed Hilout, ex-dirigeant des Musulmans Laïques de France, dans Boulevard Voltaire) Et Gibreel
l'Archange
précisa les conditions dans
lesquelles on devait enterrer un homme, et comment on devait diviser
ses biens,
à tel point que Salman le Persan commença
à se demander de quel genre de Dieu
il s'agissait, pour ressembler tellement à un homme
d'affaires. C'est alors
qu'il eut l'idée qui détruisit sa foi, car il se
souvint que, bien sûr, Mahound
lui-même avait été homme d'affaires, et
sacrément bon en plus... Même
si nous supposons que Mahomet avait raison, pourquoi son Allah, dit
omnipotent, n’a-t-il pas transformé ses ennemis en
amis sans avoir besoin de l’effusion de leur sang, ni de la
captivité de leurs femmes et de leurs filles ?
Quel
bénéfice cet Allah a-t-il tiré de tous
les crimes commis par Mahomet en son nom ?
Et dans quelle mesure Mahomet en a-t-il lui aussi profité ? Chaque fois que je me pose ce genre de questions, la colère et l’exaspération m’embrasent contre Mahomet et sa marionnette Allah. Tous les griefs de Mahomet gravitaient autour de ses intérêts mondains et matériels. Tout était purement centré sur l’argent, le butin, les conquêtes militaires, les invasions, le pouvoir de dominer les autres et les plaisirs de la chair. (Najat Kasler, traduit par Maurice Saliba depuis http://www.ahewar.org/debat/nr.asp) J'ai pensé ajouter Salem Ben Ammar (Français d'origine tunisienne) qui est clairement au diapason de ce qui précède, mais il dit n'avoir jamais été musulman. Son blog.
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